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Yves Amyot

Acteur - Auteur - Narrateur

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Quelques extraits :


« (…) Rocky Larocque (Yves Amyot) qui passe son temps à raconter des blagues de cul est hilarant. » (La Job) - série télé
-Hugo Dumas, La Presse , 7 octobre 2006

« Yves Amyot est absolument génial en Diderot débridé. »
(Le Libertin) - Théâtre
-Magalie Paquin, MonThéâtre.qc.ca , 9 mai 2006

« Le comédien Yves Amyot est tout feu tout flammes dans son rôle de Diderot. Habile comme pas un (…) Amyot fait preuve ici d’un grand naturel, peut-être même son meilleur rôle et sa meilleure performance en carrière. »
(Le Libertin)
-Serge Drouin, Journal de Québec, 4 mai 2006

« Yves Amyot soutient héroïquement le siège. Il est là de bout en bout, d'abord enivré par le badinage brillant de son personnage, bientôt tout à sa honte de s'être fait avoir, puis gagné d'émouvante façon à son impuissance à prescrire une morale unique (…). » (Le Libertin)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 22 avril 2006

« Yves Amyot est surprenant d’efficacité dans le rôle d’un Diderot un peu fat dont l’intérêt pour la science est bien souvent sublimé par son désir de la chair, »
(Le Libertin)
-Patrick Caux, Le Devoir, 26 avril 2006

«  Dans le rôle de Sophie, Lorraine Côté impressionne par l'intensité et la rigueur de son jeu. Il faut la voir courir et s'époumoner sur scène comme une vraie démente. On peut dire la même chose d'Yves Amyot, qui aborde Bernard avec l'excès voulu. » (Ha ha !…)
-David Cantin, Le Devoir, 25 septembre 2003

« Les comédiens, eux aussi côtoyant le vide, s'y lancent sans retenue. Tous quatre (Yves Amyot, Lorraine Côté, Marie-Christine Lavallée, Reynald Robinson), excellents, impressionnent par leur énergie, mais surtout, par leur disponibilité à ce monde désordonné, leur talent à s'en imprégner et à s'y abandonner. Chacun flambe avec son personnage, et se consume avec lui. En écoutant Ducharme, magnifiquement rendu par les interprètes, on ne peut s'empêcher d'être admiratif. » (Ha ha !…)
-Marie Laliberté, Voir, 25 septembre 2003

« La beauté de cette production réside d’abord dans le solide tonus du jeu. (…) Les acteurs ont le texte tatoué au corps. (…) Yves Amyot s’abandonne corps et âme à la dissolution de Bernard, le mari alcoolique de Mimi. » (Ha ha !…)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 20 septembre 2003

« La distribution se dépasse. (…) Yves Amyot incarne un médecin fataliste et sinistre, l’image juste ce qu’il faut de comique de l’impuissance des savoirs face à la mort. »
(Le Roi se meurt.)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 31 janvier 2003

« Yves Amyot, touchant de retenue en mari de la victime. »
(Meurtre)
-Marie Laliberté, Voir, 13 novembre 2003

«  Linda Laplante et Yves Amyot apportent une grande rigueur à la résonance de ce drame. (…) En inspecteur de police comme en mari d’une victime du forcené, le second arrive à la même présence éclairante.» (Meurtre)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 6 novembre 2003

« Yves Amyot livre un Alfred de Musset parfaitement désabusé. » (Impromptu)
-Pascale Turcotte, VoiciQuébec.com, 18 novembre 2002

« Musset cinglant, plein de dépit et en tout point admirable d’Yves Amyot » (Impromptu)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 1er novembre 2002

« (…) le Pompée d’Yves Amyot, rendu à renfort de pantomimes aux saillies parfois très imaginatives, rend bien l’énergie sauvage des bas fonds. »
(Mesure pour Mesure)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 29 janvier 2001

« D’un beau naturel, Yves Amyot en Pompée est pratiquement méconnaissable. » »
(Mesure pour Mesure)
-Serge Drouin, Journal de Québec, 28 janvier 2001

« Parlant des acteurs, leur plaisir manifeste à jouer et leur grand talent –une distribution hors pair- contribuent à rehausser la portée d’une pièce déjà riche en matière à réflexion. » (Pierre et Marie et le démon)
-Éric Moreault, Le Soleil, 7 août 1998

«
Les deux personnages masculins sont solidement campés. Intense, vulnérable, le Pierre d’Yves Amyot est un macho « ouvert »(…) (Pierre et Marie…et le démon)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 12 juin 1998

« Yves Amyot connaît des moments de grâce dans le rôle de Jean, personnage pathétique et opportuniste »
(Le jeu du Mort)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 26 février 1998

« Le jeu a atteint une pureté cristaline. (…) Yves Amyot, Josée Deschênes et Jack Robitaille, pour leur part, jouent sans frein aucun. Ils ne rendent pas le texte, ils l’exalent. » (Bureautopsie)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 29 septembre 1995.

« (…) Yves Amyot campe un Eugène attachant. Il endosse avec authenticité l’enthousiasme candide, l’espièglerie et l’animation du jeune esprit paré à conquérir Broadway. » (Biloxi Blues)
-Jean St-Hilaire, le Soleil, 3 octobre 1994.

« Yves Amyot (…) À travers son jeu habile et fort naturel, ce comédien fait figure ici de révélation. Sa performance est impressionnante. »
(Amour, mensonges et rodéo)
-Pierre O. Nadeau, Journal de Québec, 7 juillet 1994

« Chanteur western de son état, personnage très émotif, Jeff-Rodéo Turcotte (…) Yves Amyot le défend avec une fumante énergie et un comique qui ne dément jamais. »
(Amour, mensonges et rodéo)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 11 juillet 1994

« Yves Amyot, dans ses multiples rôles de malfrats, fait en ce sens montre d’une invention remarquable. Son travesti éthéré qui manipule les cartes frappe l’imagination par sa cohérence démente. »
(Edmond)
-Vincent Desautels, Voir, 1994

« Tour à tour également, Yves Amyot, le workaholic, Josée Deschênes, la prévenante et l’avenante, Jack Robitaille le philosophe donnent des performances à couper le souffle. »
(Bureautopsie)
-Serge Drouin, Journal de Québec, 1993

« Yves Amyot dégouline de fatuité et de naturel dans le rôle du jeune cadre. »
(Bureautopsie)
-Jean Saint-Hilaire, Le Soleil, 27 février 1993

« Yves Amyot (…) s’avère l’une des belles découvertes de la saison à Québec. »
(Comme ça tu te sépares ? )
-Serge Drouin, Journal de Québec, 12 juillet 1993


À titre d’auteur :


« (…) quatre textes inédits d'Yves Amyot, Fabien Cloutier, Marc Doré et Denis Leblond. À voir ce petit bijou d'Yves Amyot sur ces êtres d'exception que sont les jeunes hommes en colère. » (Révélation)
-Isabelle Porter, Le Devoir, 21 mars 2005

"Les propositions d'Amyot (…) s'avèrent efficaces, à la fois mordantes et frondeuses. »
(Révélation)
-Nicolas Houle, Le Soleil, 10 mars 2005

« Très colorée, la pièce bouillonne de sarcasme. » (L’Intrus)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 20 juillet 1998

« …un texte à la fois drôle et intelligent… » (Bonnie et Claud)
-Suzanne Gagnon, L’étoile, 2 juillet 1997

« Il s’agit d’une comédie aux milles rebondissements qui tient le spectateurs en haleine sur leur siège du début à la fin. » (Bonnie et Claud)
-Daniel Grenier, Le Saint-François, 1997

« Une intrigue pimentée, bien ficelée… » (Joyeux Noël mon homme.)
-Jean St-Hilaire, Le Soleil, 15 décembre 1997

« On découvre de très jolies constructions dramatiques parmi ces textes. (…) et surtout l’abrasif ABC de la vie de Yves Amyot. L’histoire pleine de rebondissements des rapports entre eux de deux petits truands. (…) c’est piquant d’observation et la pirouette finale est d’une ironie exquise. » (L’Abc de la vie.)
-Jean St-Hilaire, le Soleil, 18 mars 1996.

« (…) Yves Amyot réussit un très bon coup. Il a su développer une mécanique alerte et articulée, qui enraye les longueurs, au profit d’un rythme soutenu et de bonnes occasions de se dilater la rate. » (L’Intrus)
-Pierre O. Nadeau, Journal de Québec, 21 mai 1995

“Yves Amyot (…) démontre aussi qu'il sait manier l'humour avec une dextérité remarquable. (…) Amyot a l'esprit vif et voit les multiples possibilités de chaque scène.
(…) cet humour frappe juste, avec une pertinence et un à-propos dévastateur.
Ce n'est pas la seule surprise qui sous-tend la pièce d’Yves Amyot, la meilleure étant encore le dynamisme haletant de son écriture."
(L’Intrus)
-Vincent Desautels - Voir, 8 juin 1995

- "...un auteur de promesses." (…) Avec L'Intrus, Amyot effectue des premiers pas tout à fait honorables dans la sélective arène de l'écriture dramatique comique. (…) Amyot excelle à brouiller les pistes. Il multiplie les surprises et les malentendus. (…) Il manie aussi habilement les doubles sens, il a le sens de la formule choc, du détail truculent et des accumulations déconcertantes." (L’Intrus)
-Jean St-Hilaire - Le Soleil, 19 mai 1995